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Calédoblog
20 avril 2007

la phrase du jour made in NC

Le Petit Journal Actu de Yann Barthes sur Canal + est parti voir comment on vivait les élections chez nous autres et c'est pas triste !
Ecoutez donc l'explication de Dider Leroux qui se sent obligé de parler au public (visiblement ici en grande partie wallisien) comme à des petits enfants :
"Il va y avoir une élection présidentielle, en 2 tours : fin avril et début mai, c'est pour remplacer le président de la république Jacques Chirac, qui a fait savoir qu'il s'en allait et donc c'est la fin du mandat (...) voilà c'est la tête de François Bayrou avec ses grandes oreilles [en montrant le portrait de Bayrou]... euh, il a des grandes oreilles mais c'est un type très très sympa quand même !" Là, il voit la caméra et lui fait signe d'arrêter de filmer !
Je rappelle que Didier Leroux est (entre autres) le porte-parole de François Bayrou en Nouvelle-Calédonie !
Vous apprendrez aussi le 3ème prénom du candidat Schivardi : Attila...

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N
Site Schivardi : http://www.schivardi2007.com pour approfondir la question, car oser ou ne pas oser telle est la question. Comme dirait Joséphine. :)))<br /> <br /> N° 790 - L'éditorial du 19 avril<br /> Et les travailleurs dans tout ça ? http://www.parti-des-travailleurs.org/index.php<br /> <br /> La presse a fait grand bruit, voilà quelques jours, d’une prétendue croissance spectaculaire de l’économie dans l’Union européenne, et tout particulièrement en Allemagne, laquelle ferait jeu égal, nous dit-on, avec l’économie des Etats-Unis. Et, bien sûr, de laisser entendre (comme c’est le cas depuis des décennies) que cette croissance serait bénéfique à toute la société, y compris aux travailleurs. <br /> <br /> <br /> Qu’en est-il en réalité ?<br /> <br /> <br /> Le Monde (14 avril) livre un petit bout de la mèche : « C’est tout d’abord la restriction salariale négociée entre les syndicats et le gouvernement Schröder (coalition entre le parti social-démocrate et les Verts — NDLR) pendant près d’une décennie qui a permis aux industries allemandes de regagner de la compétitivité. »<br /> <br /> Le journal anglo-saxon International Herald Tribune (12 avril) vend l’autre bout de la mèche : « La croissance que connaît l’Allemagne la distingue de ses voisins européens (…). La thérapie a été souvent brutale, incluant des vagues de licenciements et des réductions de coûts entre 2002 et 2005. Mais après avoir repoussé toute augmentation des salaires sur le marché national et délocalisé des industries manufacturières vers des marchés où le coût du travail est plus faible, de nombreuses industries allemandes réalisent des profits records. » <br /> <br /> <br /> Et les travailleurs dans tout ça ? <br /> <br /> <br /> « Les consommateurs allemands, ébranlés par les vagues de licenciements, n’ont pas encore rouvert leurs porte-monnaie. Selon les économistes, si la consommation n’est pas relancée, la croissance pourrait s’éteindre. La hausse ininterrompue de l’euro va commencer à avoir des conséquences. » <br /> <br /> <br /> Résumons : la « croissance » — c’est Le Monde et l’International Herald Tribune qui le disent — procède pour l’essentiel de la destruction des forces productives, aussi bien des usines, des capacités matérielles de production que de la principale force productive, celle du travailleur, chassé de son emploi, réduit au chômage, à la misère, ou encore au travailleur dont le salaire est bloqué et les garanties collectives démantelées. <br /> <br /> <br /> Où peut nous conduire un système où « croissance » devient un synonyme de destructions et d’appauvrissement généralisé ? Poser la question, c’est y répondre. <br /> <br /> <br /> Faut-il le préciser ? Les directives européennes, qui, sans exception, enjoignent de ne jamais s’opposer aux licenciements et aux délocalisations (pour cause de « concurrence libre et non faussée ») et de toujours bloquer les salaires, de remettre en cause les garanties collectives et les régimes de protection sociale (au nom du pacte de stabilité et de la recherche de la compétitivité) ne sont pas pour rien dans ce résultat. <br /> <br /> <br /> Pour qui veut s’opposer à la dérive ininterrompue vers la barbarie et la destruction, peut-il y avoir vote plus utile, dimanche 22 avril, que le vote pour le seul candidat qui ose prôner la rupture avec l’Union européenne, son traité et ses directives comme la condition d’une véritable relance de l’économie fondée sur la satisfaction des besoins du plus grand nombre ? <br /> <br /> Daniel Gluckstein
G
Rien à voir mais...<br /> C'était pa la saint Emma hier ?<br /> ou aujourd'hui ? (J'crois que c'était hier !)<br /> Alors j'dis bonne fête à Emma
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